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Découvrez les 6 clés pour rendre votre entreprise plus autonome et respirer à nouveau !

Pourquoi et comment déléguer ?

Découvrez les 6 clés pour rendre votre entreprise plus autonome et respirer à nouveau !

Déléguer.

Un mot simple, presque banal. Et pourtant, dans la vie d’un dirigeant, c’est une décision aussi stratégique que difficile à mettre en œuvre.

Trop souvent, on pense qu’on ira plus vite seul. Que former, encadrer, expliquer va nous coûter un temps fou. Ou qu’on est le seul à vraiment savoir faire. Ce réflexe, bien compréhensible, finit pourtant par nous enfermer. On se retrouve à tout faire, à courir après des urgences, à étouffer dans l’opérationnel… et à ne plus jamais toucher à l’essentiel.

Pourtant, la délégation n’est pas une perte de contrôle. C’est un acte de leadership. Une manière d’organiser son entreprise pour qu’elle fonctionne même quand on n’est pas là. Encore faut-il le faire de manière structurée.

Voici les six piliers d’une délégation efficace — sans stress, sans perte de qualité, et avec de vrais résultats.

1. Déléguer les bonnes tâches

Tout ne mérite pas d’être délégué, et tout ne peut pas l’être.

Le premier travail consiste donc à faire le tri dans ce que vous faites au quotidien. Il ne s’agit pas de céder ce que vous n’aimez pas, mais de cibler ce qui n’exige pas vos compétences. Les tâches récurrentes, techniques, chronophages sont souvent les premières à quitter votre agenda. À l’inverse, la vision, la stratégie, la relation client clé doivent rester entre vos mains.

En faisant cet exercice honnêtement, on se rend souvent compte qu’on passe un temps considérable sur des missions à faible valeur ajoutée.

Et ce temps, une fois libéré, devient un espace précieux pour réfléchir, décider, structurer. Bref, pour faire ce que seul vous pouvez faire et pour remplir votre rôle d’entrepreneur.

2. Choisir la bonne personne

Déléguer ne veut pas dire « refiler » une tâche à la première personne disponible.

C’est un choix stratégique. Car si la mission est confiée à quelqu’un qui n’a ni les compétences, ni la motivation, ni les moyens d’y arriver, c’est une perte de temps assurée — pour lui comme pour vous.

Il est donc essentiel de réfléchir à qui, dans votre équipe, a les ressources pour prendre le relais. Ce n’est pas forcément le plus expérimenté, ni celui qui a du temps. C’est celui ou celle qui comprend les enjeux, qui s’implique, qui peut progresser. Et surtout, c’est quelqu’un à qui vous pourrez faire confiance.

La délégation repose moins sur le niveau de compétence que sur la qualité de la relation.

3. Donner un brief clair

C’est sans doute l’erreur la plus fréquente : donner une mission sans en expliquer les contours. Ce qui est limpide pour vous ne l’est pas forcément pour l’autre. Or, si le brief est flou, le résultat sera décevant — voire contre-productif.

Déléguer sans brief revient à demander à votre collaborateur de partir faire des courses sans lui préciser ce qu’il doit acheter et où il doit aller.

Un brief efficace, ce n’est pas une liste de tâches. C’est un cadre : pourquoi cette mission est importante, ce que vous attendez concrètement, à quelle échéance, avec quels critères de réussite. C’est aussi l’occasion de préciser jusqu’où la personne peut aller seule, et à quel moment vous souhaitez être consulté. En posant ce cadre dès le départ, vous évitez les allers-retours et donc la perte de temps pour vous et votre collaborateur, mais aussi les doutes, les tensions. Et vous offrez à l’autre les conditions pour réussir.

4. Fournir les moyens

Une mission ne peut aboutir que si on donne à la personne les moyens de la mener à bien.

Ce point paraît évident, et pourtant… combien de délégations échouent parce qu’il manque un outil, un accès, un contact, ou simplement du temps ?

Prendre quelques minutes pour vérifier que tout est en place — documents, informations, personnes à solliciter, marge de manœuvre — peut éviter bien des blocages. Ce n’est pas une marque de défiance : c’est une marque de respect. Respect du travail à faire, respect de la personne à qui vous le confiez.

5. Accompagner sans surveiller

L’un des grands pièges de la délégation, c’est le contrôle excessif. On pense déléguer… mais on continue à vérifier chaque étape, à vouloir tout valider, à repasser derrière. Ce micro-management étouffe l’autonomie et la motivation. Et il finit souvent par envoyer un message très clair : « Je ne te fais pas confiance. »

L’alternative ? Un suivi régulier, mais léger. Un point hebdomadaire. Un canal de communication clair. Une posture de soutien plutôt que de contrôle. Ce cadre permet de garder le lien, de prévenir les dérives éventuelles… tout en laissant à la personne la liberté d’agir. Et cette liberté est souvent ce qui fait émerger les meilleures idées.

6. Valoriser et ajuster

Déléguer, ce n’est pas seulement transmettre une mission. C’est aussi créer une dynamique d’apprentissage. Et cette dynamique repose sur un ingrédient souvent oublié : le retour ou feedback.

Quand une tâche est terminée, prenez le temps de faire un point. Qu’est-ce qui a bien fonctionné ? Qu’est-ce qui peut être amélioré ? Que retient-on pour la suite ?

Ce retour n’a pas besoin d’être long — mais il doit être sincère. Et surtout, il doit valoriser ce qui mérite de l’être. Trop souvent, le silence suit l’effort. Et cela finit par décourager.

En prenant ce temps de retour, vous améliorez votre propre manière de déléguer. Et vous permettez à votre équipe de progresser avec vous.

En conclusion

Déléguer, ce n’est pas abdiquer.

C’est assumer pleinement votre rôle de dirigeant.

C’est construire une organisation capable de fonctionner sans vous, au moins sur certains sujets.

C’est aussi créer les conditions pour que votre équipe monte en puissance, pour que vous puissiez vous concentrer sur l’essentiel, et pour que votre entreprise gagne en fluidité, en autonomie, en efficacité.

Alors oui, cela demande un peu de méthode, de clarté, et une vraie posture de leadership.

Mais une fois cette dynamique en place, tout devient plus simple. Et surtout : vous n’êtes plus seul à porter le poids de tout.

Envie d’y voir plus clair sur votre manière de déléguer ?

Deux possibilités s’offrent à vous :

1/ Téléchargez notre Ebook : https://www.mentorys.fr/nos-guides/pourquoi-et-comment-deleguer/

2/ Prenez rendez-vous l’un de nos business coachs pour profiter d’une séance de coaching de 30 minutes offerte : https://calendly.com/d/cnh8-stn-xn8/mentorys-seance-de-coaching-30-minutes

Peut-on s’offrir le luxe d’être pessimiste ?

Toutes les informations se succèdent pour nous rappeler que 2013 sera une année difficile :

Les indicateurs économiques sont au rouge, le taux de chômage augmente, la demande se rétracte

– Approche macroéconomique : l’année 2013 sera difficile. Je subis. Si les résultats de l’entreprise sont mauvais, cela sera la faute de la crise. Je suis « en dessous de la ligne ».
– Approche microéconomique : le contexte est défavorable mais il existe des leviers sur lesquels je peux jouer pour que mon entreprise « tire son épingle du jeu ». J’agis de manière lucide, conscient des difficultés mais aussi du potentiel de ma structure. Je suis « au dessus de la ligne ».

Pourquoi mes collaborateurs ne font-ils pas ce que je leur demande ?

Chef d’entreprise, vous-êtes-vous déjà demandé pourquoi vos collaborateurs ne faisaient pas ce que vous leur demandiez ? C’est d’autant plus surprenant voire décevant lorsqu’il s’agit de collaborateurs clés, eux-mêmes responsables d’équipes voire directeurs.

Quelle est la différence entre un « patron » et un « leader » ?

La dynamique vertueuse d’une société repose sur la différence entre un « patron » et un « leader ». Un patron est respecté pour son autorité tandis que l’on respecte un leader pour son charisme et sa capacité à écouter et faire adhérer. Malheureusement, tout patron n’est pas forcément un leader. Qu’apporte un leader à son entreprise ?

1. Le cercle vertueux d’une entreprise gérée par un leader :

Le chef d’entreprise leader sert ses collaborateurs pour les les maintenir dans un état de motivation et d’implication maximal ! Ainsi, les employés sont à même de servir les clients et de les rendre fidèles et inconditionnels. C’est au tour des clients de servir l’entreprise et d’en devenir les principaux prescripteurs. En retour, l’entreprise récompense le chef d’entreprise leader en développant sa valeur et sa rétribution.

Ainsi, pour l’intérêt de son entreprise, de ses employés, et pour son intérêt propre, le chef d’entreprise « patron » doit devenir « leader », c’est-à-dire rester au « service » de ses collaborateurs.

Que veut dire « être au service de ses collaborateurs » ?

  • – Il est important que le chef d’entreprise leader se focalise sur la sélection, le recrutement et l’intégration de ses collaborateurs.
  • – Le chef d’entreprise leader doit veiller à éliminer les obstacles qui pourraient empêcher ses collaborateurs de faire correctement leur travail.
  • – Le chef d’entreprise leader doit permettre à chaque employé de trouver un intérêt personnel à s’investir au mieux dans sa mission, avec une compréhension claire de ce que l’entreprise attend de lui.
  • – Le chef d’entreprise leader doit accepter de consacrer du temps au management de ses équipes (formation d’un comité de direction, réunions opérationnelles, etc.)

2. « Patron » ou « Leader » : les principales différences managériales

PATRON LEADER
Demande d’exécuter Fixe la direction, donne du sens
Craint d’être en position d’infériorité Est préoccupé par la mise en valeur de ses employés
Réprimande, sanctionne Sanctionne, après avoir recadré pour améliorer
S’impose Impose
Cherche à se grandir Aime voir grandir ses subordonnés
On lui obéit par crainte On adhère
A des pouvoirs A de l’ascendant
Décourage suggestions et observations Suscite initiatives et sens critique
Donne des ordres Est facteur d’ordres
Au-dessus de son équipe Avec son équipe
Sombre dans la routine Toujours en quête de progrès
Source de tensions Générateur de sérénité
Autoritaire par principe Son autorité est naturelle
Isole son personnel Ouvre des horizons
Est craint Est respecté
Est jaloux de ses prérogatives Est conscient de ses devoirs
Est présent Est disponible
Manipule par la flatterie Encourage, reconnait sincèrement le travail bien fait
Ne voit que les défauts Sait reconnaître les talents
Voit son équipe comme un coût Voit son équipe comme un investissement essentiel
Est en perpétuelle agitation Prend le temps de penser
Fait du chiffre à court terme Créé les conditions favorables au développement de l’humain et des résultats de l’entreprise

En somme, un chef d’entreprise leader guide ses employés afin qu’ils se responsabilisent et atteignent leurs objectifs : moins de supervision, mais plus de résultats ! Pour ce faire, il développe la confiance de ses employés à l’aide d’une bonne communication et en se présentant comme modèle. Pauvrement servi, l’employé aurait-il un autre intérêt que de servir pauvrement ?

Alors, quel type de dirigeant êtes-vous ?

Pour plus de renseignement sur les bonnes manières de diriger son entreprise pour la rendre vertueuse, n’hésitez pas à contacter votre coach d’affaires !

Trouver le client idéal pour développer mon entreprise

Pour la plupart des chefs d’entreprise, l’amélioration des résultats passe obligatoirement par l’augmentation du nombre de clients. Une stratégie qualitative permet cependant d’obtenir des résultats supérieurs à court comme à moyen et long terme ! Découvrez comment améliorer la qualité de votre portefeuille clients en quatre étapes :