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Avant d’investir dans un nouveau marché : les trois questions à se poser

Alors que l’une des clés de la rentabilité pour un chef d’entreprise est d’investir sur les clients les plus « rentables »,  il se retrouve souvent dans la situation du parieur sur un champ de course : faire face à un choix complexe dont l’enjeu peut être vital !

Se donner les moyens de réaliser ses objectifs de rentrée

En septembre, comme souvent aussi en janvier, c’est le moment des bonnes résolutions et des idées nouvelles.

Néanmoins, malgré toute notre bonne volonté et notre engagement, nous les chefs d’entreprise, sommes amenés, parfois, à différer dans le temps voire abandonner, au fil des semaines certains projets. Un peu comme les nouveaux joggeurs de septembre qui renoncent progressivement à s’entrainer à cause du froid, par manque de temps…

Découvrez les 6 clés pour rendre votre entreprise plus autonome et respirer à nouveau !

Pourquoi et comment déléguer ?

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Déléguer.

Un mot simple, presque banal. Et pourtant, dans la vie d’un dirigeant, c’est une décision aussi stratégique que difficile à mettre en œuvre.

Trop souvent, on pense qu’on ira plus vite seul. Que former, encadrer, expliquer va nous coûter un temps fou. Ou qu’on est le seul à vraiment savoir faire. Ce réflexe, bien compréhensible, finit pourtant par nous enfermer. On se retrouve à tout faire, à courir après des urgences, à étouffer dans l’opérationnel… et à ne plus jamais toucher à l’essentiel.

Pourtant, la délégation n’est pas une perte de contrôle. C’est un acte de leadership. Une manière d’organiser son entreprise pour qu’elle fonctionne même quand on n’est pas là. Encore faut-il le faire de manière structurée.

Voici les six piliers d’une délégation efficace — sans stress, sans perte de qualité, et avec de vrais résultats.

1. Déléguer les bonnes tâches

Tout ne mérite pas d’être délégué, et tout ne peut pas l’être.

Le premier travail consiste donc à faire le tri dans ce que vous faites au quotidien. Il ne s’agit pas de céder ce que vous n’aimez pas, mais de cibler ce qui n’exige pas vos compétences. Les tâches récurrentes, techniques, chronophages sont souvent les premières à quitter votre agenda. À l’inverse, la vision, la stratégie, la relation client clé doivent rester entre vos mains.

En faisant cet exercice honnêtement, on se rend souvent compte qu’on passe un temps considérable sur des missions à faible valeur ajoutée.

Et ce temps, une fois libéré, devient un espace précieux pour réfléchir, décider, structurer. Bref, pour faire ce que seul vous pouvez faire et pour remplir votre rôle d’entrepreneur.

2. Choisir la bonne personne

Déléguer ne veut pas dire « refiler » une tâche à la première personne disponible.

C’est un choix stratégique. Car si la mission est confiée à quelqu’un qui n’a ni les compétences, ni la motivation, ni les moyens d’y arriver, c’est une perte de temps assurée — pour lui comme pour vous.

Il est donc essentiel de réfléchir à qui, dans votre équipe, a les ressources pour prendre le relais. Ce n’est pas forcément le plus expérimenté, ni celui qui a du temps. C’est celui ou celle qui comprend les enjeux, qui s’implique, qui peut progresser. Et surtout, c’est quelqu’un à qui vous pourrez faire confiance.

La délégation repose moins sur le niveau de compétence que sur la qualité de la relation.

3. Donner un brief clair

C’est sans doute l’erreur la plus fréquente : donner une mission sans en expliquer les contours. Ce qui est limpide pour vous ne l’est pas forcément pour l’autre. Or, si le brief est flou, le résultat sera décevant — voire contre-productif.

Déléguer sans brief revient à demander à votre collaborateur de partir faire des courses sans lui préciser ce qu’il doit acheter et où il doit aller.

Un brief efficace, ce n’est pas une liste de tâches. C’est un cadre : pourquoi cette mission est importante, ce que vous attendez concrètement, à quelle échéance, avec quels critères de réussite. C’est aussi l’occasion de préciser jusqu’où la personne peut aller seule, et à quel moment vous souhaitez être consulté. En posant ce cadre dès le départ, vous évitez les allers-retours et donc la perte de temps pour vous et votre collaborateur, mais aussi les doutes, les tensions. Et vous offrez à l’autre les conditions pour réussir.

4. Fournir les moyens

Une mission ne peut aboutir que si on donne à la personne les moyens de la mener à bien.

Ce point paraît évident, et pourtant… combien de délégations échouent parce qu’il manque un outil, un accès, un contact, ou simplement du temps ?

Prendre quelques minutes pour vérifier que tout est en place — documents, informations, personnes à solliciter, marge de manœuvre — peut éviter bien des blocages. Ce n’est pas une marque de défiance : c’est une marque de respect. Respect du travail à faire, respect de la personne à qui vous le confiez.

5. Accompagner sans surveiller

L’un des grands pièges de la délégation, c’est le contrôle excessif. On pense déléguer… mais on continue à vérifier chaque étape, à vouloir tout valider, à repasser derrière. Ce micro-management étouffe l’autonomie et la motivation. Et il finit souvent par envoyer un message très clair : « Je ne te fais pas confiance. »

L’alternative ? Un suivi régulier, mais léger. Un point hebdomadaire. Un canal de communication clair. Une posture de soutien plutôt que de contrôle. Ce cadre permet de garder le lien, de prévenir les dérives éventuelles… tout en laissant à la personne la liberté d’agir. Et cette liberté est souvent ce qui fait émerger les meilleures idées.

6. Valoriser et ajuster

Déléguer, ce n’est pas seulement transmettre une mission. C’est aussi créer une dynamique d’apprentissage. Et cette dynamique repose sur un ingrédient souvent oublié : le retour ou feedback.

Quand une tâche est terminée, prenez le temps de faire un point. Qu’est-ce qui a bien fonctionné ? Qu’est-ce qui peut être amélioré ? Que retient-on pour la suite ?

Ce retour n’a pas besoin d’être long — mais il doit être sincère. Et surtout, il doit valoriser ce qui mérite de l’être. Trop souvent, le silence suit l’effort. Et cela finit par décourager.

En prenant ce temps de retour, vous améliorez votre propre manière de déléguer. Et vous permettez à votre équipe de progresser avec vous.

En conclusion

Déléguer, ce n’est pas abdiquer.

C’est assumer pleinement votre rôle de dirigeant.

C’est construire une organisation capable de fonctionner sans vous, au moins sur certains sujets.

C’est aussi créer les conditions pour que votre équipe monte en puissance, pour que vous puissiez vous concentrer sur l’essentiel, et pour que votre entreprise gagne en fluidité, en autonomie, en efficacité.

Alors oui, cela demande un peu de méthode, de clarté, et une vraie posture de leadership.

Mais une fois cette dynamique en place, tout devient plus simple. Et surtout : vous n’êtes plus seul à porter le poids de tout.

Envie d’y voir plus clair sur votre manière de déléguer ?

Deux possibilités s’offrent à vous :

1/ Téléchargez notre Ebook : https://www.mentorys.fr/nos-guides/pourquoi-et-comment-deleguer/

2/ Prenez rendez-vous l’un de nos business coachs pour profiter d’une séance de coaching de 30 minutes offerte : https://calendly.com/d/cnh8-stn-xn8/mentorys-seance-de-coaching-30-minutes

A quoi sert un modèle économique pour une petite entreprise ?

Pour un dirigeant d’entreprise, il n’est pas rare de témoigner des bénéfices que lui apporte l’analyse de son modèle économique. Tout le monde s’accorde sur la pertinence de cette démarche pour les grandes sociétés, mais son utilité est trop souvent questionnée pour les PME/TPE. Cet outil est pourtant parfaitement adapté aux petites entreprises qui veulent développer leur rentabilité rapidement.

Qu’est-ce qu’un modèle économique ?

Un modèle économique décrit la manière dont une entreprise créé de la valeur pour ses clients.

  1. Quelle est l’utilité d’un modèle économique ?

Il permet à la fois la clarification et l’action : un modèle économique nous offre une vision globale de l’entreprise en identifiant les points clés sur lesquels le dirigeant peut et doit agir pour développer son avantage concurrentiel. Son rôle est donc primordial dans l’adaptation de l’entreprise aux changements de son environnement (concurrence, évolutions technologiques…)

Exemple : Internet a considérablement impacté le modèle économique des agences de voyage.

Celui-ci permet à l’entreprise de se réorganiser pour poursuivre son développement.

Voici quelques aspects clés de l’utilité d’un modèle économique pour une petite entreprise :

  • Clarification de la Proposition de Valeur : Un modèle aide à clarifier la proposition de valeur de l’entreprise, c’est-à-dire ce qui la rend unique et attrayante pour ses clients. Comprendre comment les produits ou services répondent aux besoins spécifiques des clients permet à la petite entreprise de se positionner de manière distinctive sur le marché.
  • Prise de Décision Éclairée : En identifiant les sources de revenus, les coûts associés et les canaux de distribution, un modèle économique offre aux dirigeants une base solide pour prendre des décisions éclairées. Cela inclut l’allocation efficace des ressources, la fixation des prix et l’identification des opportunités de croissance.
  • Adaptation aux Changements : Un modèle agile permet à la petite entreprise de s’adapter rapidement aux changements de son environnement. Que ce soit en réaction à l’évolution des tendances du marché, aux avancées technologiques ou à l’émergence de nouveaux concurrents, il fournit une feuille de route pour ajuster la stratégie commerciale.
  • Attraction d’Investisseurs et de Partenaires : Un modèle bien défini est un outil puissant pour attirer des investisseurs et des partenaires. Il démontre la viabilité et la rentabilité de l’entreprise, renforçant ainsi sa crédibilité auprès des parties prenantes externes.
  • Optimisation de l’Efficacité Opérationnelle : En mettant en lumière les processus clés et les flux de travail, Celui-ci permet à la petite entreprise d’optimiser son efficacité opérationnelle. Cela peut conduire à des gains de productivité, à une meilleure gestion des coûts et à une amélioration globale de la performance.
  • En résumé, un modèle économique pour une petite entreprise va au-delà de la simple description de la manière dont l’argent circule. Il sert de guide stratégique, aidant les dirigeants à naviguer dans un environnement commercial dynamique, à saisir des opportunités et à assurer la durabilité et la croissance à long terme de leur entreprise.
  1. Comment fonctionne un modèle économique ?

L’entreprise se divise en blocs : les activités, les ressources, les segments de clients, les partenaires clés, etc. Grâce à cette décomposition en blocs, la réflexion stratégique devient plus accessible. Chaque bloc est examiné en détail pour identifier ses forces, faiblesses, opportunités et menaces. De plus, l’interdépendance entre ces blocs est analysée, soulignant comment les ajustements dans un domaine peuvent avoir des répercussions sur d’autres.

Un modèle économique : pour quels résultats ?

  • Dans les petites entreprises, chaque euro investi compte. Le modèle économique aide à valider la cohérence des offres et la segmentation commerciale.
  • Un modèle économique peut mener à des désengagements sur des activités / segments de clients pour mieux se concentrer sur d’autres. Il s’agit de décisions difficiles à prendre pour un entrepreneur qui a développé, pendant plusieurs années, des relations avec une clientèle devenue non rentable.
  • Un modèle économique permet de vérifier que les ressources de l’entreprise (les partenaires, le personnel, les équipements…) et la stratégie commerciale sont en cohérence.
  • Enfin, le modèle économique permet d’arbitrer. Par exemple, dois-je continuer des activités non- stratégiques dans mon métier, comme le recouvrement de créances, ou dois-je l’externaliser afin que mon assistant(e) dégage du temps et utilise son expérience pour améliorer le service clients ?

Un modèle économique pour une petite entreprise va au-delà d’une simple représentation financière. Il constitue un outil essentiel pour orienter les décisions stratégiques, maximiser l’efficacité opérationnelle et assurer la rentabilité à long terme. Dans un environnement où chaque décision compte, un modèle économique bien conçu offre une boussole précieuse pour les entrepreneurs cherchant à prospérer dans des conditions économiques souvent exigeantes.

Pour en savoir plus sur les bénéfices concrets de cette méthode, nous vous recommandons l’ouvrage de A. Osterwalder/Y Pigneur « Business Model Nouvelle Génération » ci-dessous et de contacter un coach d’affaires qui pourra vous aider dans sa mise en œuvre.

Développer mes ventes par le bouche-à-oreille ? Je n’aime pas réseauter

Que l’on soit introverti, réservé, ou pleinement extraverti, il est important de considérer l’impact du bouche-à-oreille lorsque l’on souhaite développer ses ventes. En effet, il a été prouvé que le bouche-à-oreille « traditionnel » a toujours plus de portée que les réseaux sociaux dans les décisions d’achat d’un consommateur !

Pourquoi le bouche-à-oreille est-il peu utilisé ?

Le bouche-à-oreille est l’un des moyens les plus efficients pour faire connaître son entreprise et accroître ses ventes, et ce dans de nombreux secteurs. En effet, avec ses coûts moindres et ses taux de transformation élevés, il est rêve absolu pour tout chef d’entreprise !

Les dirigeants sont, cependant, nombreux à ne pas développer cette stratégie de manière proactive. Pour quelles raisons ?

  • 1- Le manque de temps

Si le marketing de bouche à oreille est vraiment efficace, pourquoi ne pas y consacrer plus de ressources, en supprimant des actions commerciales plus coûteuses ou chronophages?

La deuxième raison est souvent la réponse à cette question…

  • 2- « Je n’aime pas ‘réseauter’, je ne suis pas à l’aise dans les cocktails. »

Réponse type d’une personne introvertie!

Pour les introvertis, « réseauter », c’est rencontrer des inconnus, dans un lieu très souvent bruyant où l’on tient des conversations superficielles. Il est évident qu’une telle perception du réseautage ne peut que les amener à avoir des réticences.

Les introvertis sont plus doués qu’ils ne le pensent dans les relations d’affaires :

Les introvertis possèdent en effet trois qualités qui leur permettent de développer de très bonnes relations d’affaires :

  1. Les introvertis sont particulièrement réfléchis : c’est avec soin qu’ils choisissent les cercles, clubs ou groupes qui leur apporteront le plus de bénéfices personnels et professionnels. Leur démarche est particulièrement ciblée.
  2. Les introvertis sont déterminés : lors du réseautage, ils se concentrent facilement sur leurs objectifs sans être tentés par des bavardages « excessifs ».
  3. Les introvertis veulent des relations sur la durée : c’est pourquoi ils organisent vite des rendez-vous en tête-à-tête et établissent sans tarder des relations de confiance.

Contrairement aux idées reçues, les introvertis ont tous les atouts nécessaires pour développer un bon « réseautage », à condition de remettre en cause certaines croyances et de sortir de leur zone de confort.

Pour en savoir plus et développer vos compétences dans le « bouche-à-oreille » , cliquez ici !

Le « savoir-être » : la clé du succès de l’entrepreneur ?

Saviez-vous qu’Andrew Carnegie (1835-1919), célèbre homme d’affaires américain connu pour avoir fondé une philosophie de la philanthropie, a également élaboré une « philosophie du succès » pour les chefs d’entreprise ?

Andrew Carnegie demanda en effet à un jeune étudiant de consacrer 20 années de sa vie à rencontrer des chefs d’entreprise en utilisant une démarche scientifique afin de comprendre les clés de la réussite dans monde des affaires et d’élaborer la « formule magique du succès » pour la communiquer au plus grand nombre…
Ce fut l’œuvre d’une vie pour Napoleon Hill, qui rencontra des milliers d’entrepreneurs.

Le résultat ? Un livre – Réfléchissez et devenez riche* – paru en 1937 et réédité 42 fois à ce jour, servant de base à plusieurs « gourous » du monde des affaires.
Ce qui m’étonne toujours à la lecture de cet ouvrage, parfois « daté » dans sa forme, c’est la simplicité et la pertinence des enseignements, toujours d’actualité et source constante d’inspiration pour les dirigeants d’entreprise.

Voici quelques principes fondamentaux énoncés dans cet ouvrage :
– Avoir une vision, des objectifs précis et savoir élaborer des plans.
– Savoir prendre des décisions
– Être persévérant, démontrer une forte capacité à surmonter les échecs
– Comprendre le pouvoir du « cerveau collectif »…

Le savoir-être est donc la clé du succès alors que nous avons trop souvent tendance à privilégier le savoir-faire. Andrew Carnegie l’a démontré dans sa « vraie vie », démarrant sa carrière comme ouvrier dans l’industrie textile et faisant fortune dans l’acier … tout en consacrant la plus grande partie de son temps à sa véritable passion : aider les autres !

*Napoleon Hill, Réfléchissez et devenez riche, Les Editions de l’Homme

 

Faire de ses clients des avocats de son entreprise

Comment faire de ses clients des inconditionnels de son entreprise ? Un entrepreneur a tendance à vouloir conquérir de nouveaux clients lorsque le climat des affaires est tendu. Peu de chefs d’entreprise adoptent une démarche proactive en s’appuyant sur le principal actif de l’entreprise : le portefeuille clients. C’est pourtant la démarche la plus efficace à adopter !

Comment conquérir de nouveaux clients avec un budget limité ?

Si un dirigeant a tendance à privilégier le développement de nouveaux contacts (publicité, salons, télémarketing, campagnes de mailing), le taux de conversion est pourtant l’un des moyens les plus efficients pour augmenter le nombre de ses clients.

Améliorer mon taux de conversion avant de générer de nouveaux prospects :

Le développement de nouveaux contacts via les opérations énumérées ci-dessus est souvent très coûteux et absorbera une part importante du budget marketing. En revanche, une augmentation de 10 % du taux de conversion est aussi efficace que générer 10 % de prospects supplémentaires, avec deux avantages majeurs pour les PME :

– Des coûts moins élevés

– Des retombées plus rapides

Il est temps de mesurer son taux de conversion et de mettre en place des actions concrètes qui pourraient « payer » très rapidement !

Comment améliorer mon taux de conversion ?

 Pour améliorer mon taux de conversion et gagner de nouveaux clients, je dois :

– Définir ce qui me distingue de mes concurrents de manière concrète, en évitant les « lieux communs » tels que : le service clients, l’offre de qualité, les délais rapides…

M’engager clairement, quitte à proposer une garantie

– Demander à mes clients de témoigner

– Faire des photos ou des vidéos de qualité de mes réalisations

Mesurer mon taux de transformation par marché, type de clients, produits.

Me fixer des objectifs, former mes commerciaux : définir des scripts de vente, etc.

Attention, cette liste est loin d’être exhaustive et doit être adaptée à votre activité !

Un coach d’entreprise ActionCOACH est un professionnel expérimenté qui vous permettra de  prendre du recul sur votre stratégie commerciale pour identifier les opérations commerciales les mieux adaptées à votre entreprise.

Contactez votre coach d’affaires pour en savoir plus !

Evaluez vos chances de réaliser vos objectifs de la rentrée !

Allez-vous réaliser vos objectifs de la rentrée ? Pour le savoir, rien de plus simple : répondez-vous par l’affirmative ou par la négative aux affirmations suivantes :