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Peut-on s’offrir le luxe d’être pessimiste ?

Peut-on s’offrir le luxe d’être pessimiste ? On vous répond.

Toutes les informations se succèdent pour nous rappeler que 2013 sera une année difficile :

Les indicateurs économiques sont au rouge, le taux de chômage augmente, la demande se rétracte

– Approche macroéconomique : l’année 2013 sera difficile. Je subis. Si les résultats de l’entreprise sont mauvais, cela sera la faute de la crise. Je suis « en dessous de la ligne ».
– Approche microéconomique : le contexte est défavorable mais il existe des leviers sur lesquels je peux jouer pour que mon entreprise « tire son épingle du jeu ». J’agis de manière lucide, conscient des difficultés mais aussi du potentiel de ma structure. Je suis « au dessus de la ligne ».

Cette seconde approche peut paraître simpliste, voire irresponsable, elle pourrait même en irriter certains… et pourtant :

Dans le cadre d’une TPE ou d’une PME nous occupons rarement la position du leader qui subit mécaniquement les évolutions de la demande. Il est donc possible d’augmenter nos parts de marché. En clair, comment être meilleurs que la concurrence ?

Certaines actions* ne sont pas coûteuses et peuvent « rapporter gros » notamment en jouant sur les taux de conversion ou sur la fidélisation de nos clients

– Les comportements des consommateurs évoluent rapidement en période de crise.

– Comment innover ? Soyons plus rapides que nos concurrents à adapter nos offres.

– La crise fait bouger les lignes. Quelles opportunités pour nos entreprises ?

– Examinons les possibilités de recrutement,  d’alliances  voire d’acquisitions ?

Voici une citation de Winston Churchill qui permet de résumer ce propos, tout en relativisant la gravité de la crise que nous traversons.

« Un pessimiste voit la difficulté dans chaque opportunité, un optimiste voit l’opportunité dans chaque difficulté.  »

* Voir la méthode des 5 leviers développée par ActionCOACH